Pour simplifier à
l’extrême, on pourrait comparer la punition à un serpent qui se mord la queue : l’éducateur punit un enfant qui
se comporte de façon inappropriée => la punition bloque le développement des
zones du cerveau qui permettent à l’enfant de se comporter de façon appropriée
=> l’enfant se comporte de façon encore plus inappropriée => l’éducateur
punit davantage l’enfant. Et ainsi de suite.
Plus la punition est
grande, brutale et inexpliquée, plus le serpent grossit.
Extrait du livre Autorité et bienveillance, Julien Lavenu, LaboPhilo.
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